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Le fait que Paul VI ait cité la péricope sur la vigne dans son discours à l'ouverture de la deuxième session de Vatican II (29. 9. 1963), le fait aussi que cette péricope ait trouvé sa place dans la Constitution sur l'Église (Lumen Gentium, ch. I, n. 6), témoigne de son actualité et de sa valeur théologique. Le contenu théologique de cette péricope présente, en effet, un immense intérêt.
L'auteur fait remonter son examen des études sur ce passage de St. Jean (15, 1-11 (17)) jusqu'au Concile de Trente, qui lui aussi s'en est refeéré à cette péricope dans le Décret sur la grâce et la justification. Il analyse dans l'article les travaux de: J. Cornarius, Theologia vitis viniferae, Heidelberg 1614; K. Leonardi (J 15 dans l'histoire des arts); A. Lesch et W. F. Wiles (J 15 dans la patristique); les articles de A. Colunga, J. Leal, H. Van den Bussche, B. Schwank, A. Jaubert, et l'ouvrage de vulgarisation de J. Conrad. Ces études n'épuisent pas le contenu théologique de J 15, 1-11. Dans la patristique, la comparaison de la véritable vigne se rapportait à l'humanité du Christ.
L'auteur de l'article estime résolu le problème historicoreligieux de l'image de la vigne (Ancien Testament). Par contre le contenu théologique de l'image de la vigne (J 15, 1. 4. 5), ainsi que les idées qu'elle renferme (immanence, fructification, disciple, joie), sont encore pleins de problèmes. L'auteur essaie de les résoudre par la méthode philologico-exégétique (analyse philologique des termes, comparaison avec les lieux parallèles). De cette façon, il s'efforce de préciser le contenu des idées susdites dans le cadre du discours imagé de la vigne et fournir le sens théologique de tout le passage. L'image et les idées qu'elle renferme, ont une place très importante dans la théologie de St. Jean. A la fin de la première partie de l'article, un schéma indique la place qu'occupent dans l'ensemble les questions analysées dans l'article.
Dans la seconde partie de l'article, l'auteur analyse les problèmes liés au texte lui-même. Il parle donc de l'étendue de cette péricope, étant donné que l'on discute sur le nombre de versets qu'elle renferme. Les versets 1 à 17 de ce chapitre de St. Jean forment une unité littéraire. On y trouve le même thème de l'union du Christ avec les fidèles (v. 1-11), et de leur union entre eux (v. 12-17). On y trouve les mêmes notions imagées, en particulier l'expression „ménein én" et „karpòn férein". Malgré son unité littéraire, la péricope de J 15, 1-17 contient deux thèmes différents: le premier (v. 1-11), où il est question de la nécessité de l'union des disciples avec Jésus, et le second (v. 12-17), où l'on parle des conditions qui rendent possible ce genre d'immanence, comme aussi de l'union des disciples du Christ entre eux. Cette différence des points de vue dans l'analyse du discours de la vigne et des sarments constitue la raison qui fait restreindre cette étude à la première partie de la métaphore, dont la seconde partie n'est que l'explication, et le développement. Le bien-fondé de la subdivision tripartite de la péricope (1-8, 9-11, 12-17) est clair.
La seconde partie de l'article comporte la traduction de J 15, 1-11 avec la critique du texte donnée en note.

Non est qui ignoret magnam vel immo maiorem partem nupturientium matrimonium contrahere cum animo prolem nascituram vel quoad tempus nascendi vel quoad numerum filiorum statuere. Limitatio prolis est plurimis coniugibus res magni momenti ob conditiones physicas, oeconomicas, psychologicas vel sociales. Inde oriuntur non solum problemata ordinis moralis, nostrum propositum directe non spectantes, sed etiam quaestiones directe c. 1086 $\S$ 2 tangentes. Ad mentem enim c. 1086 $\S$ 2 qui positivo actu voluntatis excludat essentiales proprietates matrimonii vel omne ius ad actum coniugalem, invalide contrahit. Hoc in casu habetur simulatio sic dicta partialis.
Ex dispositionibus c. 1086 $\S$ 2 de simulatione partiali gignitur quaestio de validitate matrimonii nupturientium, qui tempus vel numerum prolis nasciturae statuunt. Ad quaestionem hanc solvendam distinguitur inter voluntatem non se obligandi et voluntatem non implendi, inter exclusionem iuris et usum iuris. Matrimonium in primo tantum casu est invalidum. Sed nupturientes plerumque distinctionem hanc non cognoscunt. Numquam dicunt: ius ad prolem excludo, sed dicunt tantum: prolem nunc generare non possumus. An hoc in casu agatur de iure excluso vel usu, non est facile determinare et res est ex toto complexu causae discernenda. Attamen distinctio inter exclusionem iuris et limitationem usus iuris sustentatur, quia secus dispositiones de simulatione partiali fatales essent pro sacro vinculo matrimoniali. Theoretice enim ex c. 1086 $\S$ 2 patet exclusionem etiam temporaneam generationis prolis secumtrahere nullitatem matrimonii.
Eiusdem naturae difficultates vidimus quoad exclusionem aliorum bo- norum matrimonii. Non enim solum is qui absolute sibi reservat ius faciendi divortium civile, sed etiam is qui divortium hypothetice, si casus ferat, intendit, invalide contrahit. Permulti catholici matrimonium contrahunt illum felix fore sperantes sed simul scientes illos matrimonio eorum infausto ab divortio et pro occasione novo matrimonio scilicet civili tantum non abhorrituros.
In articulo examinatur doctrina de matrimonio constitutionis Gaudium et spes et conclusiones dispositiones iuris et doctrinam de consensu matrimoniali spectantes. In effectu proponitur revisio c. 1086 $\S$ 2 hoc in sensu, ut nullitas matrimonii tantum a simulatione totali causetur.
Bona vinculi et bonum alterius partis titulo nullitatis ex dolosa deceptione tutanda sunt.

La vie sociale lève comme le résultat de tendance des pluralités des personnes d'une valeur commune. Cette valeur est le bien commun. Les personnes humaines sont transcendentes dirigés vers le bien commun, ce personnes. Grâce à la simultanéité des actes des connaissances et des actes valences, le bien commun parait devant la raison pratique comme l'impératif étique. Car l'essentiel du bien commun, — la perfection person- nelle de tous les membres de société, — est obtenu seulement dans un ef- fort collectif, l'impératif mentionné concerne aussi la realisation collective de ce bien. Comme une transindividuel valeur social équipé d'un imperatif morale, le bien commun est la cause, qui constitue et motive chaque vie sociale. Ceci concerne l'Etat d'une façon particulière comme superieure organisée comunauté naturelle. Le caractère normatif du bien commun cause, que l'Etat est une réalité teleologique. L'Etat existe pour le but, c'est à dire pour le bien commun pas inversement. Egalement la valeur normative du bien commun et la structure de la société d'Etat impliquent l'existence du pouvoir social. Le pouvoir social doit instituer la norme exécutif du bien commun et créer la garantie que cette forme concrete du bien commun soit effectivement realisée par les citoyens. Ces deux conditions sont obligatoires pour regulièrement fonctionné du bien commun d'Etat et donnent ensemble une explication ontologique et juridique de la necessité du pouvoir de l'Etat. Entre le bien commun et le pouvoir social existe une corelation serré, car l'unique raison d'existence du pouvoir de l'Etat est le bien commun.

Dioecesis Katowicensis terminis per arbitrium Consilii Legatorum de die 28 iulii 1920 a. pertinentem ad regionem Silesiae Tessinensis et de die 20 octobris 1921 a. quoad partem Silesiae Superioris ad accipiendum compulsiis circumscripta est. Ex bulla “Vixdum Poloniae Unitas” de die 28 octobris 1925 a. erecta partim tractus archidioecesis wratislaviensis partim decanatus olim archidioecesi cracoviensi subiectos complexa est.
Totum commentationis habet dua capita. Primum (paginae 101–118) incunabula christianitis domi Vistulanorum, ad quos etiam inquilini Silesiae Superioris spectabant, res gestas civiles et ecclesiasticas, exordia temperationis paroecialis describit. Protinus contagio colonisationis ad immutationem et progressum curae animarum intra limites praesentis Dioecesis Katowicensis examinatur.
Secundum caput (paginae 118–167) in literarum ordine dispositas paroecias fundamentaque ad definitionem originis et ulteriorum eventorum singularum paroeciarum usque ad finem XV demonstrat. Ad constituendum temporis ortus scilicet erectionis singulorum centrorum curae animarum praesertim registra procuratiae Wyasdensis et denarii s. Petri, etiamque acta visitationum ecclesiarum dioecesis wratislaviensis et vetustiora dioecesis cracoviensis atque documenta in codicibus diplomaticis nec non epistolariis publicata fontes erant.

La Silésie, détachée pendant de longs siècles de sa souche natale, se caractérise cependant par une abondante littérature populaire. Celle-ci fait l'object de recherches assidues: historiques, littéraires et sociologiques, tant au point de vue genèse que contenu. Plus encore que la littérature populaire polonaise dont elle subit l'exemple, elle jouit d'une certaine formation religieuse, dont il faut chercher la source dans l'époque de l'ancienne Pologne: chez Kochanowski, Wujek, Skarga et dans le genre baroque, par exemple chez Karpiński.
Les écrivains silésiens se recrutent aussi bien parmi les paysans que parmi les ouvriers. Le plus connu d'entre eux, est Jules Ligoń (1823– 1889), sur lequel on a déjà fait paraître maintes publications. Ses ouvrages, écrits dans les genres littéraires les plus divers, accusent d'une part une attitude patriotique et des sentiments nationaux très mûrs, et d'autre part témoignent d'une religiosité très profonde. Nous en trouvons les fruits dans l'oeuvre publiée sous le titre suivant: La lutte de la Tristesse et de la Consolation dans le cœur de l'homme malade, c'est-à-dire: pensées de l'âme pour le réconfort dans chaque malheur. (Mikołów 1874). Cet ouvrage nous offre un exemple très curieux de la moralité du Moyen-Âge tant par son contenu que par sa forme qui rappelle les anciens genres littéraires. Cet écrit est, jusqu'à présent, l'unique document de ce genre dans la littérature populaire silésienne. L'ouvrage en question permet également de parler de la vie des genres littéraires qui ont survécu au Moyen-Âge. Passés au crible des autres époques et subissant leur influence, surtout celle du baroque, ils ont laissé leurs traces aussi bien dans la littérature savante que dans la littérature populaire.

Die ersten zwanzig Jahre der zweiten Hälfte des XV Jahrhunderts bil- deten eine Streitperiode zwischen den Wroclawer Domherren und Georg von Podiebrad. Das Domkapitel zählte 38 Mitglieder. Nach bischöflicher Bestimmung mussten alle Mitglieder die Universitätsausbildung besitzen und der Abstammung nach Schlesier sein. Die bedeutendsten und ein- flussreichsten Persönlichkeiten unter ihnen waren: Mikolaj Tempelfeld und Jan Düster. Es waren scharfe Georgsgegner, Häupter der Opposi- tion und Antriebsräder aller wichtigsten Schritte gegen Praga. Jedoch nicht alle Domherren waren mit ihnen in dieser Hinsicht einig. Im Kapitel gab es auch Mitglieder, die dem König die Opposition zu bekämpfen hal- fen. Wroclaw konnte aber in diesem Streite nicht siegen, denn militä- rische Niederlagen und wirtschaftliche Schwierigkeiten führten dazu, dass die Losungen der Opposition zunichte wurden und auch die Anfüh- rer ihre Popularität verloren hatten.