L'auteur définit d'abord la notion des droits de la personne humaine comme l'ensemble des droits subjectifs, en mettant l'accent sur les différences dans la conception chrétienne et matérialiste, positiviste de ces droits. Il rappelle, que c'est la dignité de la personne humaine, qui est leur fondement.
En passant à l'étude historique, il s'arrête sur les énonciations d'Ancien et de Nouveau Testament, où peut-on voir la grande valeur que l'on y donne, et montre, comment cette dignité devient la source des droits de tout homme. Puis il rappelle brièvement la doctrine à ce sujet des Pères de l'Eglise, pour s'arrêter plus longuement sur la doctrine scolastique, où les droits de l'homme sont analisés dans le contexte de l'ensem- ble des relations sociales et historiques de ce temps. L'auteur explique, pourquois on y met l'accent du premier ordre sur le loi de propriété, et montre la grande importance pour la protection des droits de la personne humaine, qu'avait le dualisme du pouvoir (ecclésiastique et séculier) dans le monde du moyen âge. Il parle aussi de la question d'esclavage et de la lutte contre lui dans les temps modernes. L'enseignement des papes du XIX s. devient compréhensible seulement dans le contexte de la doctrine individualiste sur la liberté, qui a été rejetée par eux. Léon XIII rappelle à cet égard la doctrine chrétienne sur la liberté de l'homme et ses succes- seurs jusqu'au Pie XII s'efforcent de défendre les droits de personne contre des abus des gouvernements modernes. Les enseignements de Jean XXIII, du Vatican II et de Paul VI ont été parcourus en abrégé, pour compléter la totalité de ces réflexions et aussi pour démontrer la continuité de la doctrine de l'Eglise sur les droits de l'homme. Ces droits, quoique étant formulé différemment selon des conditions, mais leur fondement reste toujours le même.

Pour comprendre le bien commun économique et sa relation par rapport au bien commun d'Etat, il faut se rendre compte tout d'abord quelle est l'essence de la vie économique. Cette question nous conduit vers le domaine de l'ontologie de la vie économique. L'ontologie économique uniforme n'existe pas, car il n'y a pas d'ontologie uniforme générale.
Les conceptions classiques de l'être et ses structures: l'atomisme et l'hylemorphisme, connus déjà du temps de l'Antiquité, ont influencé le profil ontologique des principaux systèmes économiques. C'est de la conception atomistique de l'être que tira son origine le libéralisme économique et le collectivisme. Suivant ces conceptions la vie économique ne constitue pas une communauté en activité économique, puisque les personnes qui se livrent à l'activité économique ne sont liés par aucun lien, qui résulterait de l'essence même de la vie économique.
L'antithèse de la vision mécano-atomistique du monde est l'hylemorphisme, qui considère la vie sociale ainsi que la vie économique comme une intégrité organique.
La vie économique a le caractère des relations entre les hommes, relations conditionnées par la nécessité de satisfaire les besoins économiques communs; l'économie n'est pas alors un processus individualisé, mais une activité économique des personnes qui y prennent part.
La raison formelle de cette activité économique consiste dans le principe de satisfaire les besoins, principe s'appuyant sur le droit naturel. À sa base se trouvent les besoins pré-économiques qui peuvent être réduits aux tendances fondamentales de la nature humaine, connues sous le nom des droits de l'homme, surtout au droit de développement et de perfectionnement personnel.
Ce droit élémentaire ne peut être réalisé que collectivement, c'est pourquoi sa teneur est la même que celle du bien commun de la nature humaine. La source de tous les besoins économiques est donc le bien commun. Ce bien, étant la valeur la plus grande dans l'ordre naturel, constitue le but et la règle suprême de l'économie sociale.
Si le bien commun naturel est le but de l'économie, alors dans le cadre d'une communauté d'Etat le but propre pour l'économie sociale consiste dans le bien commun de l'Etat.
Pourtant, comme dans le cadre de la communauté de l'Etat la vie économique constitue un domaine spécial de l'activité humaine, dont le but direct est de satisfaire les besoins économiques, il doit y avoir alors un bien commun de cette communauté, c'est-à-dire le bien commun économique. Son isolation est possible seulement sur le plan de réalisation, car l'ordre de réalisation exige des normes détaillées. C'est pourquoi la norme exécutive du bien commun de l'Etat dans le secteur de l'assouvissement des besoins économiques est justement le bien commun de l'économie. Il consiste dans la pleine satisfaction des besoins sociaux économiques.

St. Thomas deals in his different writings about human work using various terms for it. The most used term is „labor” and beside this there are many others as „operatio”, „actio”, „opus”, „factio”, „ars”, „contemplatio”. The analysis of these terms and their contexts shows, that human work is ontologically tied to the phenomenon of life and being and therefore it is a movement. This movement arises from the actualisation of forces latent in nature and owing to an intended release of action in man.
The deepest source of human work is the potentiality or in other terms, the possibility of development of the human nature. The function of work is to release or actuate this potentiality in nature and in man. Work implies the element of creative effort which is undertaken by man according to God's injunction. The element of physical tiredness is connected to the effort; it requires the renewal of forces by rest. This effort in work decreases the more the element which animates and moves man, coordinates and takes possession of the sphere of executive powers. Each human work contains at least an implicite aim which represents a good.
The degree of perfection of the product proves the degree of perfection of the work. The intellectual and valuating factor plays here a fundamental part. St. Thomas emphasises that the personel character of human work constitutes its essential feature.
The definition of human work according to St. Thomas' writings would be: human work is a creative intended and conscious effort of the person in tending to good, which has a social importance.

Le problème du temps libre, comme extrémement actuel, ne sort pas du domaine des sciences sociales. Une quantité de recherches empiriques tenues jusqu'à présent exige déjà des généralisations théoriques, d'autant plus, qu'un danger de déformer la perspective de vue en raison du temps libre menace de différentes parts. Une de ces déformations c'est sans nul doute la division de l'existence humaine en sphère du travail et celle du temps libre. L'auteur de cet article tâche soutenir la thèse, que le temps libre et le temps de travail font une unité intégrale.
Après avoir déterminé la notion du temps libre et après avoir montré la dynamique de son développement dans le monde contemporain, l'auteur attire l'attention sur la corrélation entre le temps libre et le travail. La constatation des influences et des dépendances réeles n'est qu'une substruction pour l'analyse ultérieure, dans lequelle l'auteur soumet à la critique la conception déterministe du progrès technique et de ses effets sociaux, y compris le temps libre. L'objet de l'analyse critique de l'auteur fait la théorie déterministe la plus répandue prétendant que le progrès technique — bien qu'il est un fait positif — a pour conséquence des sacrifices considérables de la part de l'homme, comme p. ex. l'aliénation au travail, les disproportions sociales, l'affaiblissement des liens sociaux, la solitude dans la foule, etc.
Dans ces conditions l'homme fait passer le centre de gravité de sa vie dans la sphère du temps libre; la vie humaine consiste alors dans une oscillation permanente entre les rôles sociaux liés avec le travail et les rôles sociaux spécifiques pour la sphère du temps libre. En apparence, ces rôles existent indépendamment l'un de l'autre, partageant ainsi l'unité de la vie humaine en segments autonomes et séparés l'un de l'autre.
L'auteur veut montrer, qu'à la base de cette conception se trouve la construction-modèle „homo sociologicus” (R. Dahrendorf) statique et déterministe par son essence, car éliminant le choix libre. Grâce à l'aptitude de la personne à l'autodétermination, les rôles sociaux ne transforment pas l'home en automate inanimé. D'autre part, ces rôles dépendent l'un de l'autre, car dans chaque action véritablement humaine s'exprime l'homme tout entier. L'unité de la personne humaine conditionne l'unité et l'indivisibilité du temps humain. Le temps de travail et le temps libre, étant des valeurs humanistes, peuvent mûrir seulement dans le climat d'une vraie symbiose.
C'est pourquoi les efforts pour l'humanisation des conditions du travail ont une grande importance pour la culture du temps libre, tandis que le profil juste des deux sphères de la vie humaine dépend pour une grande part du modèle de l'homme réel dans la société dite.

La société de type industriel, comparée en ce qui concerne le travail et le loisir avec celle de type traditionnel, démontre des différences si grandes qu'elle peut être conçue comme caractérisée par la civilisation du travail. Dans l'évolution historique de cette société on peut découvrir une nouvelle phase qui est susceptible de la dénomination: „civilisation du loisir".
Après avoir analysé les observations sociologiques qui ont été faites dans deux pays les plus représentatifs pour cette phase, en USA et en France, on parvient à la conclusion que la civilisation du loisir est en elle-même ambivalente et pleine des problèmes à cause des déséquilibres internes et des influences subies de la part du régime de consomption et de la culture de masse. Si ces problèmes seront vaincus, alors la civilisation du loisir sera une civilisation équilibrée et mûrie avec un pro- pre contenu culturel spécifique.

Les considérations théoriques sur les fonctions du loisir signalent son rôle particulier dans la vie de l'homme. Le loisir c'est non seulement une des conditions de son épanouissement mais avant tout un élément essentiel des contacts dans la famille. On ne peut ignorer non plus son influence sur la formation des enfants et de la jeunesse. Le but que nous proposons dans ce travail c'est la réponse à deux questions: En quelle mesure le loisir contribue-t-il à remplir les devoirs de femme dans la famille? En quelle mesure aide-t-il à resserrer les liens familiaux?
L'analyse du budget de temps dont dispose la femme qui travaille nous révèle que le sommeil, la forme primordiale du repos, fait défaut, il en est de même avec le temps consacré au repos journalier.
Tout cela rend la femme nerveuse et irritée et par conséquent nuit considérablement à la bonne atmosphère du milieu familial.
Et comment les femmes jouissent-elles de leur loisir? En grande partie elles le consacrent à la lecture des journaux, rarement des livres. L'audition de la radio est souvent accompagnée d'un autre travail. Les spectacles de la télévision ne leurs sont accesibles que dans la mesure abrégée; enfin le reste de temps elles passent en activités sociales. En effet elles ne disposent pas de temps pour la reflexion ni pour les contacts avec les autres. Il leur manque aussi de temps pour l'échange des idées et pour la réalisation de leurs aspirations. Il faut ajouter qu'il y a de grandes disproportions entre le loisir des femmes et celui de leurs maris, ainsi que des différences entre ce qui les intéresse. Dans une telle situation il leur manque de point de contact.
Après avoir analysé la situation de la femme mariée et professionnellement engagée on est prêt à avouer que le loisir et les formes d'en profiter ne peuvent pas lui garantir ni plein contact dans la famille ni même l'accomplissement de son rôle maternel.

Le renouveau de la catéchèse dans un esprit kérygmatique exige une refonte du matériel catéchétique, obligatoire jusqu'à présent, c.a.d. un regroupement de son contenu autour de certains points de repère qui constitueraient en quelque sorte les jalons du programme. Ces points de repère pourraient être fournis par les „sacrements de l'initiation chrétienne".
En faveur de cette conception, nous invoquons les raisons suivantes:
1. L'analyse de la catéchèse de l'antiquité chrétienne montre que celle-ci avait pour but principal de préparer à la réception des sacrements de l'initiation, qui étaient à la base de la vie chrétienne, et par conséquent constituaient les points de commande du programme catéchétique.
2. Un parallèle entre la vie naturelle et la vie surnaturelle demande que le baptême, l'eucharistie et la confirmation soient les points de commande du programme catéchétique. Ces sacrements, en effet, peuvent assurer un développement harmonieux de la vie surnaturelle.
Ces remarques nous font affirmer que la catéchèse devrait avoir un caractère de préinitiation envers le sacrement à recevoir, et en même temps un caractère de postinitiation envers le sacrement déjà reçu. Le programme catéchétique serait alors conçu de la manière suivante:
A. Pour les enfants ne fréquentent pas encore l'école, la catéchèse devrait comporter un cours de deux ans, basé sur deux cycles: „Ma prière" et „Mon Église paroissiale". Ce cours aurait pour but de préparer à la Première Communion à l'âge préscolaire. Il aurait un rôle de postinitiation par rapport au sacrement de baptême et de préinitiation par rapport à l'Eucharistie.
B. Pendant le cours élémentaire, la catéchèse aurait pour but: en première classe, d'épanouir la vie eucharistique par la participation à la messe suivant le thème: „Jésus s'offre avec nous"; en deuxième classe, de préparer à la première confession suivant le thème: „Jésus nous pardonne"; en troisième et quatrième classes, de faire connaître à l'enfant la personne du Christ dans un cycle de deux années: „Nous accompagnons Jésus en Palestine"; en cinquième, sixième, et septième classes, de souligner le rôle salvifique du Christ dans la vie du jeune chrétien, selon le thème: „Jésus nous accompagne" en tant que „Vérité" (Symbole des Apôtres), en tant que Vie (Sacrements) et en tant que Voie (Commandements). Le thème de la huitième classe: „Jésus nous donne le Saint-Esprit", serait une préparation directe à la confirmation. La catéchèse du cours élémentaire aurait ainsi un rôle de postinitiation envers l'Eucharistie, et de préinitiation envers la Confirmation.
C. Pendant le cours moyen, le programme catéchétique jouerait un rôle de postinitiation par rapport au sacrement de la confirmation. Elle mènerait à son plein épanouissement la maturité chrétienne reçue en gage à la confirmation. Le programme comporterait un cycle thématique de quatre années pour les classes de IX à XI.
1. Histoire de l'Église — „Le peuple de Dieu conquiert le monde à Dieu".
2. Dogme — „Le peuple de Dieu croit en Dieu".
3. Sacrementologie — „Le peuple de Dieu vit de Dieu".
4. Morale — „Le peuple de Dieu vit la volonté de Dieu".
Tout le programme du cours moyen aboutirait à la préparation du jeune chrétien à sa mission apostolique de „témoin du Christ" dans le monde où il vit.
Le programme catéchétique que nous venons d'esquisser selon la dé- claration de Vatican II sur l'éducation chrétienne, est un essai de transposition et de refonte de la catéchèse, comprise jusqu'à nos jours comme une „instruction religieuse", en „mandat de salut" qui serait apte à faire entrer le jeune chrétien, progressivement et harmonieusement, dans le mystère du salut, à le mener à une rencontre salvifique de Dieu, et à le préparer à une vie chrétienne d'apostolat.

Doctrina Concilii Vaticani II de sacramento baptismi analysi subiicitur. Primus et fundamentalis effectus baptismi est incorporatio in Ecclesiam. Plura de hoc aspectu baptismi inveniuntur in Constitutione de sacra liturgia, in Constitutione dogmatica de Ecclesia et in Decreto de oecumenismo. Ex illis fundamentalibus ecclesiasticis effectibus sacramenti initiationis christianae consequentiae et postulationes ius canonicum spectantes emergunt.
Oecumenicus aspectus c. 87 in clara luce ponendus est: omnes rite baptizati Ecclesiae incorporantur, societati sacerdotali. Ex structura sacramentali Ecclesiae iura et obligationes baptizatorum describuntur. Personalitas in Ecclesia dynamica est et proportionate ad unionem et communionem ecclesiasticam in praxim deductam crescit. Haec communio plena vel minus plena esse potest eo gradu, quo elementa Ecclesiae adipiscuntur. Sed etiam ii, qui plenam communionem nondum assequuntur a iure canonico ignorari non debent, sed in legibus constitutivis Ecclesiae conspiciendi sunt. Ecclesiae seiunctae ut ecclesiae particulares nondum perfectae et nondum in plena unitate constitutae tractari possint. Ad rem oecumenicam fovendam codex fundamentalis totius christianitatis perutilis fore videtur.

Synodus provincialis convocatus Varsaviae die 4 Martii anno 1561 ab archiepiscopo Gnesnensi et primate Poloniae Joanne Przerambski statuit in suo 21. decreto, ut collegia in unaquaqua dioecesi instituerentur, quae tanquam „seminarium idoneorum clericorum" a synodalibus patribus considerata sunt. Verba ac litterae decreti synodi Varsaviensis — adhuc extra Poloniam ignotum — eorumque analysis comprobat, quod episcopatus Regni Polonici similem conatum cepit, qui primum in 11. decreto „Reformationis Angliae" cardinalis Reginaldi Pole elaboratus et postea in conficiendo decreto Concilii Tridentini de seminariis condendis mutatis mutandis receptus fuerat. Qua de causa hoc decretum synodale inter fontes ad praeformationem supra memorati decreti Tridentini pertinentes adnumerandum est.

Les livres de prières qui étaient en usage en Haute-Silésie jusqu'en 1914 renferment différentes prières destinées à aider les fidèles à assister à la Sainte Messe. Comme le latin dont se servait le prêtre pour célébrer la Messe était inintelligible pour les fidèles, on s'est efforcé de remplacer les textes liturgiques latins par des traductions en langue nationale. Les formes les plus anciennes de ces prières sont des commentaires allégoriques ou symboliques du Sacrifice de la Messe, modelés sur les commentaires d'Amalarius de Metz (vers l'an 850). Les livres de prières dont il est question dans cet article offrent aux fidèles des méditations soit sur l'oeuvre entière de la Rédemption (l'attente du Messie incluse), sur la Passion de Notre Seigneur en particulier, soit sur les souffrances du Coeur de Jésus. Dans la suite, on a paraphrasé ces prières pour rendre les textes liturgiques plus compréhensibles aux fidèles. Ces paraphrases ont souvent été ajoutées aux allégories ou aux traductions littérales des textes de la Messe. Les compilateurs des livres de prières ne mentionnent que très rarement le nom de l'auteur de ces paraphrases. La meilleure méthode d'assister à la Messe, d'après ces livres de prières, consiste à réciter les prières de la Messe traduites littéralement, étant donné qu'elles permettent aux assistants de mieux participer aux prières du célébrant. Dans ces traductions on trouve parfois les paroles de la consécration traduites en langue nationale, ce qui était en contradiction avec les prescriptions du Saint-Siège, qui interdisait toute traduction en langue nationale des paroles de la Consécration. Les prières de Communion — prières préparatoires et action de grâces — ont été traitées séparément. Elles ont une place à part, en dehors des prières de la Messe. Les livres de prières de la Haute Silésie renferment, en outre, une quantité considérable de cantiques que l'on chantait pendant la Sainte Messe. (Dans ce travail, il n'en a été parlé qu'en passant).
Le présent article ne constitue qu'un essai. Il doit servir, dans la suite, à préparer de nouvelles analyses des matériaux contenus dans les livres de prières de la Haute Silésie en usage jusqu'en 1914.

Im Archiv der Pfarrei Lubie-Kopienica Kr. Gleiwitz befand sich bis in die letzte Zeit ein Urkundenbuch, dessen handschriftlicher Inhalt nicht genauer erforscht worden ist, obschon auf dieses Buch in Vorkriegspublikationen Bezug genommen worden war. Diese Urkundensammlung ist in verschiedenartigen Handschriften abgefasst und hauptsächlich in polnischer Sprache, dann aber auch in lateinischer, jedoch am wenigsten in deutscher Sprache. Das Buch enthält polnisch geschriebene Angaben über Kircheninventar aus dem Jahr 1607, sodann polnische Register über Zehnten- und Messalienabgaben, wie auch polnisch geschriebene Trauungs-, Tauf- und Sterbematrikeln der Pfarrei Kopienica 1607—1611, die bis dahin nirgendwo amtlich registriert worden waren; ausserdem noch namhafte Matrikelbruchstücke aus den Jahren 1615—1646, in lateinischer Sprache geschrieben, die ebenfalls bisher amtlich in keinem Verzeichnis zu finden sind. Auffallender Weise hatte dies Urkundenbuch keinen Titel. Deutsche Historiker zitierten es in ihren Publikationen bald als „Rechnungsbuch seit 1607”, bald als „Inventarbuch”, ohne es aber anzugeben, dass man es vor allem mit polnisch geschriebenen Texten zu tun hatte. Erst der Autor dieses Artikels kam auf den Gedanken, zwei Blätter dieses Buches abzulösen, die auf den Einbanddeckel aufgeleimt waren, und so entdeckte er das ursprüngliche Titelblatt des Buches (siehe Photo). Der schöne polnische Titel wurde der Schlüssel zum Verständnis des handgeschriebenen Inhaltes des rätselhaften Buches.
In diesem Artikel werden nur die neuentdeckten polnischen Tauf-, Trauungs- und Totenmatrikeln aus Kopienica behandelt und näher analysiert. Aus der Analyse dieser Matrikeln geht hervor, dass sie eine Frucht der Breslauer Diözesansynoden vom Jahre 1580 und 1592, und unmittelbar vom Jahre 1606 sind. Damals wurden nämlich in der Diözese Breslau die ersten Verordnungen über die Führung der Pfarrmatrikeln erlassen. Die polnischen Pfarrmatrikeln aus Kopienica aus den Jahren 1607—1611 gehören also zu den ältesten Pfarrmatrikeln in der alten Diözese Breslau, die durch die ersten Synodalvorschriften veranlasst waren. Im Lichte der neuesten Bestandaufnahmen der Kirchenbücher im Lande scheinen diese alten Tauf-, Trauungs- und Totenregister aus Kopienica sogar die ältesten Pfarrmatrikeln zu sein, die in polnischer Sprache sich erhalten haben. Das betrifft im besondern das Sterberegister.
Charakteristische Merkmale dieser polnischen Pfarregister sind folgende:
1. lebendig und unmittelbar geschrieben, ohne jedes trockene aktenmässige Schema;
2. die Rubrik „Zeit” ist in diesen Matrikeln sehr genau und sogar weitläufig umschrieben, sodass man daraufhin leicht die Gebräuche in der Wahl der Tage für Taufen, Trauungen und Begräbnisse festellen kann;
3. bei jeder Taufe sind im allgemeinen 5 bis 10 Taufzeugen namhaft gemacht, dagegen sind bei Trauungen keine Zeugen genannt, weil auch die Breslauer Synode des Jahres 1580 solche nicht vorschreibt;

Decanatus myslowicensis, maturius pars decanatus bytomensis, erectus est die 28 augusti 1868 a. et complexus est huius temporis paroecias Bogucice, Chorzów, Dziećkowice, Katowice, Królewska Huta, Mysłowice et novoerectam paroeciam Roździeń scilicet Szopienice. Anno 1849 — iuxta annuarium dioecesis wratislawiensis — in illis paroeciis inter 41 266 catholicos habitaverunt 410 germani. Progressio industriae locorum postulavit amplificationem incolarum numeri, exstructionem novarum coloniarum, exaedificationemque villarum, quae adhuc fuerant. Lucrum operariorum metallorum et officinarum exiguum et insufficiens ad sustentationem familiae erat.
Tempore discidii, quod vocatur „Kulturkampf", non tantum Ecclesia catholica sed etiam sermo nativus in nostra regione impugnati sunt et lingua polonica ex scholis et officiis exclusa in vita familiari et ecclesiis perseveravit. Qua de causa post mitigationem vocati „Kulturkampf" ex una parte multitudo hominum pugnavit, ut lingua vernacula in scholas et officia induceretur, ex altera parte gubernium prussicum omnes et omnia, quae polonice erat, persecutum est.
Interim in crescentibus pagis forsique novae paroeciae et ecclesiae erectae sunt, nempe in Brzezinka, Dąb, Hajduki, Katowice — altera paroecia —, Królewska Huta — altera paroecia —, Lipine, Świętochłowice, Za- łęże. Anno 1908 immutatus decanatus myslowicensis continuit paroecias Brzezinka, Bogucice, Dąb, Dziećkowice, Katowice — duas paroecias —, Mysłowice, Szopienice, Załęże atque a decanatu bytomensi disiunctas paroecias Michałkowice et Siemianowice, ad quas accessae sunt novoerectae paroeciae Mała Dąbrówka, Janów-Giszowiec, Siemianowice-secunda paroecia —.
Primo bello mundi finito et plebiscito peracto totus decanatus myslo- wicensis cum aliis partibus Silesiae Superioris ad republicam Poloniam adiunctus est et membrum per bullam „Vixdum Poloniae unitas" de die 28 octobris 1925 a. erectae dioecesis Katowicensis formavit. Sed iam tempore administrationis apostolicae transmutatio decanatus a. 1923 exsecuta est et separatis Katowice cum confinibus paroeciis permanebant Brzezinka, Dziećkowice, Janów, Mysłowice, et assignatae sunt decanatu mysłowicensi Lędziny, Chełm, perinde novoerectae paroeciae Imielin, Krasowy, Nowy Bieruń, posterius Bojszowy et Brzęczkowice. Eo modo decanatus usque ad hoc tempus omnino industrialis immutatus est in decanatum maxima ex parte ruralem, qua de causa universa questus inopia paululum percepta erat.
Annis occupations inter 22 sacerdotes decanatus quinque in castris concentratis trucidati sunt. Post vacationem ab occupantibus centra curae animarum et novae ecclesiae in Hołdunów, Urbanowice, Giszowiec, Morgi, Wesoła conditae sunt. Nova temperatione a. 1955 peracta decanatus mysłowicensis sequentes paroecias continebat: Brzezinka, Brzęczkowice, Chełm, Dziećkowice, Giszowiec, Imielin, Janów, Krasowy, Morgi, Mysłowice, Szopienice, Wesoła cum 35 sacerdotibus curam animarum agentibus et fere 110 000 catholicis. Die 19 iunii 1969 a. peracta est novissima dismembratio, qua secuta infra terminos decantus remanent paroeciae: Brzezinka, Brzęczkowice, Dziećkowice, Krasowy, Morgi, Mysłowice, Wesoła, explentes decreta II Concilii Vaticani.

Brevis haec elucubratio in tres partes dividitur, videlicet:
I. Introductio
II. Problemata cardinalia ad revisionem Codicis Iuris Canonici pertinentia
1. Principia quae Codicis Iuris Canonici recognitionem dirigant
2. Definitio provoriae ordinationis systematicae novi Codicis
3. Codex Fundamentalis ius consititivum Ecclesiae continens III. Conclusio.